| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://marbath-lg-1.vip-blog.com


Le MARBATH
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

Le MARBATH

VIP-Blog de marbath-lg-1
sanhdabi@yahoo.fr

  • 13 articles publiés
  • 15 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 07/06/2010 02:27
    Modifié : 26/02/2011 19:01

    Garçon (0 ans)
    Origine : LOUGA/SENEGAL
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930
    [ Religion ] [ Développement ] [ Sports ] [ Culture ] [ Education ] [ Société ] [ Jeux de Dames ] [ Citoyenneté ]

    DEBUTS de PARTIES

    22/11/2010 17:45



    1er DEBUT. PARTIE CLASSIQUE. L'ouverture 33-28 est l'une des plus anciennes du jeu de dames. Elle est encore assez fréquemment usitée aujourd'hui, et doit être considérée comme correcte, bien qu'elle présente des difficultés certaines pour dégager d'une manière convenable l'aile gauche du damier. 1. 33-28 18-23 2. 39-33 12-18 Le maître hollandais Battefeld Joue fréquemment ici 17-21. Dans ce cas, les meilleurs coups de part et d'autre paraissent être les suivants : (17-21) 31-26 meilleur (20-24) 26-17 (12-21). A. — 34-29 (23-34) 40-20 (15-24) 37-31 (21-26) 32-27 (26-37) 41-32, (Diag. Variante A) etc… — B. — 34-30 (21-26) suivi de 16-21 et 11-16 si 36-31 et 31-27 (Diag. Variante B) qui paraissent corrects. M. Balédent préconisait aussi ici 13-18 en vue de dégager l'aile gauche des noirs par 9-13 et 4-9. L'inconvénient de cette méthode est de ne pas permettre ultérieurement, si besoin est, d'exécuter un double pionnage par 14-20, ce qui est parfois très gênant. Dans cette variante, une bonne méthode pour les blancs consiste à développer l'aile droite de leur jeu comme suit : « 13-18 ? « 44-39 9-13 ? « 34-30 20-25 « 49-44 25-34 « 39-30 15-20 « 30-25, (Diag. 1) etc. 3. 31-27 17-21 Cette réponse des noirs est généralement considérée comme excellente. 4. 37-31 21-26 5. 44-39 41-37 se joue parfois, mais emmène une partie difficile, car le coup contraint le plus souvent les blancs à exécuter ultérieurement un pionnage aventureux par 17-22. 5. 26-37 6. 42-31, (Diag. 2)             Diagramme 2             Diagramme 1             Battefeld Variante B             Battefeld Variante A 4 1re VARIANTE (Après Diag.2) Les noirs se développent par 7-12 6. 7-12 7. 47-42 2-7 M. Bizot préconise aussi ici 11-17. Les coups les plus usuels dans cette variante sont alors les suivants : « 11-17 « 27-22 18-27 « 31-11 16-7, etc. Lorsque les blancs répondent par 41-31sur 11-17, l'on peut signaler comme intéressante la variante suivante qui permet aux noirs de tenter un joli coup, sans sacrifier leur position ex: « 11-17 ! « 41-37 ? 17-21 « 31-26 1-7 « 26-17 12-21 « 50-44 21-26 coup fort interdisant 37-31 qui perdrait le pon par 16-21 des noirs suivi de 18-22, 23-29, 19-26, 7-11, 2-22. 8. 41-37 12-17 (Diag. 3) lre SOUS-VARIANTE (Après Diag. 3) Attaque des blancs par 17-28 après 46-41 9. 50-44 7-12 10. 46-41 1-7 Ce coup paraît laisser plus de liberté d'action aux noirs que 20-24, — susceptible d'emmener la curieuse variante suivante, favorable aux blancs: « 20-24 ? « 27-22 18-27 « 31-22 1-7 « 34-29 23-34 « 40-20 15-24 « 36-31 ! (Diag. 4) « Ce coup qui parait anormal est fort, car il paralyse « l'aile droite des noirs qui compromettraient « définitivement leur partie s'ils répondaient par 16-21. « Exemple: « 16-21 ? « 31-27 21-26 « 44-40 « 27-21 livrerait un coup de dame aux noirs par 26-31 « et 19-23. « 10-15 « 17-18 ? livrerait aux blancs un coup de dame gagnant « par 33-29, 43-39, 28-39, etc. « 41-36 14-20 « 27-21 ! « Coup fort qui paraît compromettre définitivement la partie « des noirs. 11. 27-22 ! 18-27 12. 31-22 16-21 ! (Diag. 5)             Diagramme 5             Diagramme 4             Diagramme 3 5 Cette réponse des noirs est généralement considérée comme excellente dans cette variante. 13. 22-18 34-29 et même 34-30 se jouent parfois en vue de compliquer la partie, mais ne paraissent pas meilleurs que le coup du texte. Sur 33-29, perte du pion pour les blancs ou coup de dame en faveur des noirs. « Exemple : « 33-29 12-18 « 37-31 ? « Sur 39-33 ou 35-30, perte du pion « 18-27 « 29-18 « Sur 31-22 ? coup de dame par 19-24 « 13-33 « 39-28 7-12 « 31-22 19-23 « 28-19 16-46 g. 13. 13-22 14. 32-27 ! 22-31 15. 36-16 23-32 16. 37-28 19-23 17. 28-19 14-23 (Diag. 6) Partie nullement compromise pour les blancs, bien que ceux-ci aient un pion isolé. 2ième SOUS-VARIANTE (Après Diag.3) Partie du jeu de bandes par 31-26 après 46-41 9. 50-44 7-12 10. 46-41 1-7 11. 31-26 20-24 12. 27-21 (Diag. 7) Ici les blancs exécutent parfois aussi un grand tant pour tant par 34-29, 40-20, 27-22, 32-21, 28-23 et 33-31. 34-30 paraît moins usité. Les meilleurs coups à jouer de part et d'autre dans cette variante paraissent être les suivants : « 34-30 14-20 « 30-25 17-22 « 10-14 est parfois joué aussi par certains maîtres, notamment « par M. Bizot, en vue de compliquer la partie. L'on peut également signaler ici la-marche suivante préconisée autrefois par le célèbre maître hollandais Barteling: « 37-31 14-20 « 41-37 10-14 « 27-22 18-27 « 31-22 23-29 « 34-23 24-30 « 35-24 20-27 « 32-21 16-27 « 28-23 19-28 « 33-31, etc. 12. 16-27 13. 32-21 23-32 14. 37-28 (Diag. 8) 14-20             Diagramme 7             Diagramme 8             Diagramme 6 6 11-16 livrerait évidemment un coup de dame aux blancs par 18-23. 15. 42-37, etc. Partie intéressante se prêtant à de nombreuses variantes plutôt avantageuses pour les noirs, de l'avis de nombreux théoriciens. Nous n'en ferons pas la démonstration qui serait beaucoup trop longue, et peut-être peu concluante. 3ième SOUS-VARIANTE (Après Diag.3) Attaque des blancs par 27-22 avant de jouer 46-41 9. 49-44 7-12 10. 27-22 Cette attaque est aujourd'hui considérée par certains maîtres comme De Jongh, Dumont fils, etc., comme la meilleure. 10. 18-27 11. 31-22 16-21 (Diag. 9) Ici certains maîtres préfèrent souvent répondre tout simplement par 12-18. qui constitue une réponse correcte également. Par contre, beaucoup de forts Joueurs considèrent 1-7 comme faible dans cette position, les blancs pouvant avantageusement compliquer la partie en répondant par 36-31, coup qui paralyse l'aile droite des noirs. En effet, sur 16-21, les blancs forceraient rapidement le gain de la partie en répondant par 31-27 suivi de 27-21 sur 21-26 forcé. Voici quels sont les coups les plus usuels de part et d'autre sur 1-7. « 1-7 ? « 36-31 ! 20-24 « 34-29 23-34 « 40.20 14-25 (Diag. 10) 13. 33-29 L'on peut encore jouer ici 22-18 qui donne des suites assez originales. Exemple : « 22-18 13-22 « 32-27 23-41 « 27-27 41-47 Cette variante ne paraît toutefois aboutir qu'à l'égalité, car en jouant correctement, la dame noire ne peut être reprise qu'avec 2 pions. 12. 12-18 13. 37-31 18-27 14. 31-22 forcé 21-26 ! 15. 29-18 11-16 16. 22-11 13-33 17. 39-28 16-7 Les blancs ont une bonne partie. (Diag. 11)             Diagramme 11             Diagramme 10             Diagramme 9 7 2ième VARIANTE (Après Diag.2) Les noirs développent tout de suite leur aile gauche par 20-24 6. 20-24 Ce coup est préconisé par certains maîtres qui trouvent prématuré le développement de l'aile droite du damier par 7-12, 2-7, 12-17, etc., qui permet aux blancs de rentrer dans la 3ième sous-variante que nous venons d'analyser, qui paraît donner des suites plutôt favorables à ceux-ci : 7. 41-37 14-20 (Sur 34-30 qui se joue aussi, se reporter à notre 3e début.) 8. 47-42 7-12 9. 46-41 (Diag. 12) Bon coup permettant aux blancs de dégager leur aile gauche dans de bonnes conditions par 27-22 si les noirs répondent par 11-17 ou 12-17. 9. 10-14 De préférence à 12-17 qui permet aux blancs, soit de se dégager par 17-22, soit de tenter la faute suivante : « 12-17 ? « 34-29 23-34 « 39-30 20-25 ? (Diag. 13) « commettant la faute « 3 1-26 25-34 « 40-20 15-24 « 27-21 etc. gagnant 2 pions. 10. 50-44 1-7 SOUS-VARIANTE A Les blancs attaquent par 34-29 10. 34-29 (Diag. 14) Ce coup parait un peu plus solide que le dégagement immédiat de l'aile gauche par 27-21 qui se joue parfois. Voici une suite usuelle dans ce cas : « 27-21 16-27 « 31-22 18-27 « 32-21 23-32 « 37-28 13-18 « 21-16 18-23 (Diag. 15) « 42-37 « sur 38-32, coup de dame par 23-29, 24-30 et 13-47 « 23-32 « 37-28 20-25, etc. 11. 23-34 12. 40-29 20-25 Ici 18-23 se joue parfois aussi (sans crainte du dégagement) par 33- 29. Ce coup ne parait toutefois pas meilleur que celui du texte. 13. 29-20 15-24 14. 27-21 L'on peut encore rentrer ici dans la variante Hoogland par 27-22, qui complique toutefois beaucoup la partie des blancs. Voici une variante intéressante dans ce cas :             Diagramme 14             Diagramme 15             Diagramme 13             Diagramme 12 8 « 27-22 18-27 « 31-22 12-17 « 44-40 « Sur 37-31, coup de dame par 19-23. Sur 36-31, coup de « dame par 24-29, 19-30, 13-19 et 0-47. « 5-10 « 40-34 7-12 « 34-30 « Sur 34-29, réponse simple par 10-15 et non par 19-23 qui « livrerait ensuite un coup par 22-18, 32-28 et 38.7. « 25-34 39-30, etc. 14. 16-27 15. 31-22 18-27 16. 32-21 5-10, (Diag. 16) etc. Partie assez bien équilibrée. SOUS-VARIANTE B Les blancs temporisent par 31-26 11. 31-26 11-17 (Diag. 17) 12. 34-29 27-21 suivi de 32-21 et 37-28 ne parait pas meilleur que le coup du texte. Sur 37-31, partie peu avantageuse également. — Exemple : « 37-31 7-11 « L'on peut encore signaler ici 17-21 qui livre un joli coup de « dame aux noirs par 7-11, 11-31, 16-21, 18-22, 23-29 et 19-46 si « les blancs répondent par 31-26. « 41-37 5-10 « 34-29 « Sur 27-22, réponse simple pour les noirs par 23-29, 24-30, « 20-27, 16-27 qui dégage le jeu avantageusement, « bien que permettant aux blancs de rattraper le pion « perdu par 28-23 et 33-31. « 23-34 « 40-29 20-25 « 29-20 15-24 « 27-21 « Sur 44-40, bon coup de mazette pour les noirs par « 24-29, 19-30, 17-21, etc. « Sur 27-22, coup de dame pour les noirs par 19-23, 25-34 « et 17-50. 16-27 « 31-32 18-27 « 32-21 13-18, etc. 12. 23-34 13. 39-30 20-25 17-21 en vue de compliquer la partie ne parait pas meilleur. Exemple : « 17-21 ? « 26-17 12-21 « 36-31 21-26 « 30-25 7-12 « 41-36 18-23 (Diag. 18) « Sur 2-7, bonne attaque pour les blancs par 27-22, rendant « précaire tout pionnage ultérieur des noirs par 24-29 si « besoin est. « 33-21 24-22             Diagramme 18             Diagramme 17             Diagramme 16 9 « 27-29, etc. « avec une assez bonne partie pour les blancs. 14. 37-31 25-34 15. 40-20 15-24 16. 27-22 18-27 17. 31-11 6-17 (Diag. 19)




    TEMOIGNAGES

    22/11/2010 17:54



    Le Témoignage de ses contemporains ---------------<>---------------- . A Cheikh Sidiya Baba que beaucoup de personnes mal intentionnées ont essayé de mettre en mal avec lui, Cheikh Saad Bouh a dit : "….Tes prières sont si bien prises en considération par Dieu. Que si tu lui demandes être chérif, il en sera ainsi. Auprès des saints, tu incarnes le bras droit Tandis qu’eux se contentent du ras gauche…" -Cheikh Sidiya lui dit en revanche : "Dans le Maghreb (l’Ouest) tout le monde prétend être un « bonheur » Mais tout « bonheur » à côté de toi, est amoindri, dominé, Car, tu es le meilleur de tout les « bonheur ». Et tu es assurément intérieurement et extérieurement un descendant de Mouhammad (PSL)". Cheikh Ould Moutâli dit au Grand Cheikh : "…Il y’a parmi nous un descendant de Mouhammad (PSL) Et il est la « fièvre jaune » de tous les saints. Aussi préférai-je disparaître pendant qu’il est temps". Et en effet, il rendit l’âme peu de temps après. Cheikh Tourad Ould Cheikh Abbâs lui a ainsi rendu hommage : "…Je viens vers toi comme disciple ; De Saint-Louis, je suis comme guidé vers toi par le Parfum qui exhale de ton corps. Je jure par Dieu qu’après Mouhammad (PSL), il n’y a pas de figure religieuse plus illustre que toi. Dieu t’a comblé de toutes les faveurs dont Il a pourvu le Prophète (PSL)…" Quant à Cheikh Akmal A, il dit ceci au Grand Maître : "….A-t-on jamais vu dans le Maghreb Un homme de Dieu de l’envergure de Cheikh Saad Bouh Qui est assurément le « bonheur » de l’ensemble des « bonheurs » ? Si vous voyez son égal, montrez-le-moi." Cheikh Amrabi Rabou Ould Cheikh Ma el Aynine dit également de lui : "Si tous les autres saints incarnent l’eau, tu es celle du Zem-Zem Si tous les autres saints sont symbolisés par les étoiles, tu es pour eux l’étoile polaire Qui dispense sa lumière, les éclairs jaillissant des quatre points cardinaux. Si tout les saints sont symbolisés par les prières surérogatoires, tu es leur Witr. Ainsi est mise en évidence la différence entre les Saints et toi. Cette différence est la distance qui nous sépare du soleil, car tu es canal par où passent les bienfaits, les puissances, la grandeur, la miséricorde, la patience et la pitié. Les mots me manquent pour te décrire. Je suis obligé de me taire dans la mesure où il m’est impossible de dénombrer les grains de sable, les vagues et les gouttes de pluies." Cheikh Mouhammad Taqi Allah Ould Mouhammad Fadel Ould Abaidi Ould Mamin fit ce témoignage: "Quand s’est éteinte l’une des plus illustres créatures, J’ai commencé à énumérer tous ceux qui ont pleuré. Parmi ceux-ci, il y a tous les livres du savoir, la tablette et la plume sacrée. Il y’a eu également le Sirr, tout l’univers et tous les actes de dévotion ont pleuré aussi avec tout ce monde. Nimzatt, le roi des zones, tout le Sénégal. Car ils venaient de perdre le saint des saints : Le soleil qui illumine et surplombe tout ; L’homme vertueux, le sceau de cette vie, le « bonheur » sublime d’ici-bas et de l’au-délà. Il s ‘est engagé, vers lui, une course poursuite. Ne soyez pas les derniers, du moment que je l’ai présenté." -Cheikh Saad Bouh rendit cet hommage à Cheikh Amadou Bamba: "Le siècle avait juré de produire son pareil. Ö siècle ! Tu n’as pas respecté ton contrat, expie donc ! En trésor de minerai caché dans une conque dont le traitement devait être assuré par les blancs A disparu en mer sous forme de lune, Puis réapparu en un soleil éclatant au point qu’on ne put le cacher. Les épreuves subies en ont fait un rubis incomparable O ! Voici une porte merveilleuse de la conversion ! Chaque disciple qui vient auprès d’elle. Et qui se conforme à ses recommandations à sa portée tous les bienfaits. Félicitation pour la religion dont il est la joie et l’orgueil..." - Khâdimou Rassoul a ainsi répondu : "Je réponds à celui qui, avant d’être de ce monde, fut une lumière Qui éclaire tous les temps ; Salut au maître des maîtres, au pouvoir spirituel inaccessible. Et qui est le « bonheur » sublime ; Qui procure le « bonheur » aux éloignés comme aux proches ? O maître, prend acte de ma considération à l’égard de tes pères consanguins dont tu es le dépositaire spirituel incontesté." Voici ce qu’El Hadji Malick Sy dit du Grand Maitre : "Estime et amour pour toi constituent les mobiles de mon salut. Tu es guide éclairé de notre époque, de tes contemporains ; Ne cesse point de m’abreuver de tes sources spirituelles Car tu es d’une spiritualité si élevée qu’aucun élu ne peut l’atteindre Baignera dans le bonheur celui qui vous admire, vous « descendant » de l’Apôtre Et s’éterniseront dans l’amertume, vos ennemies." Et la réponse de celui-ci : "Je m’adresse à celui qui dans le domaine du savoir dépasse tous ses contemporains. Les âmes se réjouissent du savoir qui sort de ta bouche Ta présence d’esprit et ton calme ont suscité en moi, estime et considération Dont la résultante constitue les grâces que t’as accordées le Tout Puissant Qui est le garant. La pédagogie dont tu fais montre est la meilleure : Ainsi que le Wird que tu utilises. Ton savoir dépasse assurément les deux étoiles de la 7ème couche céleste. Et tout savant qui se mesure à toi perdra son prestige. Cependant, si les chérifs constituent des merveilles et que je suis issu de Mouhammad (PSL), je suis donc incomparable." Cheikh Mouhammad El Fouty Ly a ainsi rendu hommage à son maitre : "O tombeau qui renfermes ce puits (de science), cette célébrité, J’ai nommé notre Cheikh Saad bouh, le rubis des savants Il y’a en toi, grâce au Maitre du trône, notre Créateur, une mer immense débordante et gonflée de pluies continuelles. Il y’a en toi du savoir, de la piété ; une immense faveur qui fait oublier les hommes de prodige. Il y’a en toi un descendant de l’Apôtre de Dieu, le mond a hérité, un bonheur, père de nos plus grands maitres. Il y’a en toi une lumière de la pleine lune, une générosité de la mer ; Qu’il est considérable ce maitre des pieux ! Il a remis à jour la voie des élus divins lorsque les traces en étaient effacées, donc il a ressuscité des os déjà réduits en poussière. Il a dissipé l’esprit de rébellion contre Dieu, banni la sottise quand elle devenait monnaie courante, il a repoussé loin de nous l’injustice et les Ténéré…" Le présent ouvrage se veut une modeste contribution visant à aider les talibés a mieux connaître la Tariqa et de ses origines. Il peut être également pour les personnes étrangères à l’ordre un moyen d’apprécier les faveurs de l’Islam qui se manifestent dans ses différentes voies, au nombre de 360. La Khadriya en est la genèse, le soubassement, l’archétype. Cette voie est plutôt soucieuse de l’unité que de la scission qu’elle combattit d’ailleurs ardemment selon les prescriptions coraniques où elle prend racine. N’est-il pas dit dans le Coran que « les croyants ne sont que des frères. Etablissez la concorde entre vous et craignez Allah afin qu’on vous fasse miséricorde » ! C’est là le message le plus adéquat de mettre en exergue la grandeur divine, sa magnificence qui se traduit par l’envoi parmi nous, de personnages comme Cheikh Saad Bouh et ses pairs =>




    GESTION DE LA CLASSE

    22/11/2010 18:12



    GESTION DE LA CLASSE 1. L’agitation dans la classe Les causes : 1°) Les élèves ne sont pas intéressés : - Trop de verbiages non compris - Pas d’activités motivantes - Pas de recherche réelle de leur part 2°) Il n’y a pas de discipline stricte : - Pas de contrôle du travail donné - Pas de contrôle du matériel - Peu de passage dans les rangs - Marchandage des notes - Pas de démocratie en classe. 3°) Les élèves testent les professeurs nouvellement arrivés. 4°) Le professeur ne maîtrise pas le contenu du thème et/ou est tatillon dans sa démarche. Pour la remédiation deux phases importantes sont à observer : Avant l’entrée en classe - Se procurer le règlement intérieur de l’établissement ; éclaircir avec l’administration le cadre de ses interventions en matière de discipline : combien de minutes de retard sont tolérées, quel éventail de sanctions elle prévoit en cas d’indiscipline, etc. - Se renseigner auprès des collègues ou des conseillers pédagogiques sur le matériel à demander aux élèves. Après l’entrée en classe - Laisser les élèves debout à leur place jusqu’à l’obtention du calme. - Garder en permanence le contact avec la classe : regarder/ écouter les élèves (messages verbaux ou non verbaux) et adapter le cours en conséquence. - L’objectif de l’autorité, fondée sur le respect mutuel, est de favoriser le travail, non de faire valoir un rapport de force ; on s’efforce donc d’établir un climat favorable au travail de chacun. - Passer un contrat pédagogique avec les élèves, expliciter les « règles de jeu », lire le règlement intérieur, communiquer ses barèmes d’évaluation. - Motiver les élèves par une présentation attractive du cours et une participation active (découverte du savoir). -Éviter les temps morts ; commencer le programme rapidement en évitant de traîner sur les premières leçons. - Mobiliser rapidement les élèves par des consignes claires leur demandant une tâche précise, soit individuellement, soit par petits groupes. - Ne pas permettre aux élèves de s’exprimer sans lever la main. - Ne pas permettre aux élèves de se déplacer sans permission. - Contrôler le travail en passant dans les rangs et en vérifiant les cahiers. - Noter au tableau et faire noter dans les cahiers de textes (sous contrôle) le travail à faire à la maison. - Pour les élèves absents et l’administration, tenir avec soin, à chaque cours, le cahier de textes : leçon du jour, plan du cour, travail donné avec date d’échéance. 2. Les cahiers de l’élève 1°) le cahier de cours : - Il doit être soigné (écritures et contenir la synthèse de la leçon - Il doit être contrôlé par le professeur 2°) le cahier d’exercices : - Il doit être soigné - Il ne doit contenir que des exercices - Il doit être contrôlé par le professeur 3°) le cahier de brouillon : - Il est l’instrument de recherche 3. Le cahier de textes Le cahier de textes est un document public officiel d’un intérêt capital. Il permet, en cas d’absence ou de mutation d’un enseignant de ménager une étroite continuité entre l’enseignement du professeur précédent et celui de son suppléant ou de son successeur. Il doit être complet, de maniement facile et exempt de fautes. Il doit refléter la vie de la classe et permettre de suivre avec précision la marche des études. Il est aussi, pour le professeur, la mémoire de son enseignement. Le cahier de textes doit porter les textes et indications de devoirs, leçons, préparation, exercices de contrôle, travaux de toute nature. Il est souhaitable que les devoirs proprement dits soient affectés d’un numéro d’ordre. Les textes de devoirs (manuscrits, reproduits au duplicateur ou imprimés) doivent figurer au cahier de textes in extenso. Il en sera de même du texte des exercices lorsque ceux-ci ne figurent pas dans un livre ; si les exercices sont dans un livre, porter les références. Le cahier de textes porte, à leur date, les indications des leçons permettant de se faire une idée de leur objet, de leur nature et de leur étendue Le cahier de textes est rempli, régulièrement, de façon lisible et soignée par le professeur lui-même en respectant les différentes rubriques. Le cahier de textes permet aussi à l’administration de contrôler le travail du professeur (respect du programme; rythme de progression ; assiduité etc.) 4. Les devoirs - Les devoirs font parties de l’évaluation - Le nombre des devoirs de contrôle (obligatoires) doit être respecté. - Les devoirs de contrôle peuvent comporter des QCM, des exercices « vrai-faux », …. - Les devoirs à la maison sont souvent d’un autre genre et permettent, entre autre, la mise en forme de la rédaction. 5. Le compte rendu de devoirs Le devoir permet au professeur de vérifier si les élèves ont bien assimilé les notions installées et au besoin apporter des remédiations. Ainsi le compte rendu occupe une place centrale dans l’enseignement apprentissage. Un bon compte rendu doit refléter pour chaque item : - les différentes erreurs rencontrées - pourquoi les réponses ne sont pas exactes - comment faire pour éviter - indiquer la réponse attendue - annoncer le degré de réussite 6. Le cours Le professeur doit concevoir une séance d’enseignement. On peut trouver : 1°) Le cours magistral : - L’enseignant fait son travail seul, les élèves écoutent, regardent et recopient. 2°) Le cours « semi-magistral » : - L’enseignant ne fait plus son travail seul, mais oblige les élèves à le faire, point par point. 3°) Le cours actif : - Les élèves cherchent (seuls ou en groupes) et construisent leur connaissance. Cette dernière démarche est fortement recommandée. On y distingue : Le rôle du professeur qui est : - De donner, clairement, la consigne de travail et de s’assurer que tout le monde l’a comprise - De surveiller le travail en passant dans les rangs et de guider ceux qui ont des difficultés. (Il est libéré du tableau et se trouve, libre, au milieu de sa classe). - De relever les réponses et d’organiser la vérification ou la démonstration. (La préparation du professeur sera basée sur les activités proposées et les réponses attendues des élèves). - De faire noter la synthèse établie par les élèves. Le rôle de l’élève qui est : - De comprendre la consigne et de la mettre en action. - De chercher et de conjecturer. - D’énoncer ses reponses et de les justifier. - D’élaborer et rédiger les propriétés trouvées. L’élève, petit à petit, s’engage dans le débat (Il conjecture, aime à prouver qu’il a raison). Il est évident qu’il faut un certain temps avant que les élèves ne soient habituées à travailler ainsi. Toutefois il faut insister car c’est la façon actuelle de concevoir une leçon. Malheureusement, même si le temps ou certaines parties du cours nous obligent, quelquefois, à limiter « la démarche active », il faut toujours mettre les élèves en activité de recherche




    Historique!!!!!!!!

    22/11/2010 19:36

    Historique!!!!!!!!


    SENESPORT.INFO, dimanche 21 novembre 2010 : Battue à l'aller (0-2) par le Ghana, l'équipe nationale cadette du Sénégal a réussi l'exploit de remonter deux buts pour s'imposer finalement aux penalties (2-0 ; 5 tab 4) face aux Black Starlets Ghana. L'exploit est retentissant pour les Lionceaux qui se qualifient ainsi pour la première fois à la prochaine Coupe d'Afrique des Nations réservée aux Cadets, prévue au Rwanda en 2011. Exceptionnel, magnifique, retentissant, historique. Les qualificatifs ne manquent pas pour qualifier l'exploit des Lionceaux qui viennent d'obtenir leur visa pour la prochaine Can Cadette prévue au Rwanda en 2011. Avec un handicap de deux buts au coup d'envoi, Diawandou Diagne et ses co-équipiers vont mettre seulement plus d'une demi-heure pour réduire leur retard. Sur une belle combinaison, Pape Babacar Ndoye ouvre le score (35'). Malgré l'absence du public qui n'a pas répondu présent pour ce match, les cadets vont continuer sur leur lancée rejoignant les vestiaires avec ce but d'écart.




    AFRICITES:Emploi et Developpement durable

    24/11/2010 15:26

    AFRICITES:Emploi et Developpement durable


    L’emploi et le développement durable, nouveaux chantiers des collectivités locales Africités se tient du 16 au 20 décembre au Maroc Le Maroc accueille du 16 au 20 décembre Cités et Gouvernements locaux unis d’Afrique pour la cinquième édition du sommet Africités placé sous le signe de la détermination. Celle qu’insuffle la conviction d’agir pour le compte des populations de base sur le continent africain. De l’économie au réchauffement climatique, les autorités locales s’imposent comme des acteurs défendant leur prérogatives. Au nom de leurs administrés. "Nous voulons promouvoir le développement durable et l’emploi comme base du développement économique de notre continent. Nous ne voulons plus qu’on nous dise que c’est par l’insertion au marché international qu’on développera l’Afrique. Il n’y a pas d’économie compétitive au niveau mondial sans économie locale forte. La réponse que nous proposons est née de l’expérience." C’est en ces termes que s’énonce l’ambition de Cités et gouvernements locaux unis d’Afrique (CGLUA), par la voix de son secrétaire général Jean-Pierre Elong Mbassi, au moment où s’ouvre ce mercredi la cinquième édition des Journées panafricaines des collectivités locales, Africités. Africités : la petite histoire Les sommets Africités sont organisés tous les trois ans alternativement dans les différentes régions d’Afrique. Ils constituent un temps fort dans l’impulsion du processus de décentralisation en Afrique, et dans la réflexion sur la place et le rôle des gouvernements locaux dans la gouvernance et le développement des pays africains. La première édition s’est tenue en janvier 1998 à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Africités 1 a vu l’émergence du mouvement municipal africain sur la scène institutionnelle régionale et internationale. La deuxième édition s’est déroulée en mai 2000 à Windhoek en Namibie. Africités 2 a marqué le début de la structuration du mouvement municipal africain et du dialogue panafricain sur la décentralisation et le développement local. La troisième édition s’est tenue à Yaoundé en décembre 2003. Africités 3 consacrera l’unification du mouvement municipal africain et sa participation au mouvement municipal mondial. Il donnera lieu à la gouvernance de Cités et gouvernements locaux unis d’Afrique (CGLUA) dont le congrès fondateur se tiendra en mai 2005. La quatrième édition accueillie à Nairobi, au Kenya, en septembre 2006, a été centré sur la contribution des collectivités locales africaines à la mise en oeuvre effective des objectifs du millénaire pour le développement. Africités 4 sonne la fin d’un cycle, celui de l’émergence et de la structuration du mouvement municipal africain, mais ouvre désormais une nouvelle étape, celle de l’action. Source CGLUA Certains évènements ne produisent que la clameur inhérente à leur tenue, il en sera autrement pour cette rencontre tant la détermination des collectivités locales africaines semble se préciser et s’affirmer. "Il y a une charge d’attente sur le mouvement que nous sommes en train de vivre et un appel à l’innovation de la part de ceux qui n’ont jamais eu droit de dire ce qu’ils voulaient, note le responsable du CGLUA. (…) Notre organisation affirme que nos peuples africains n’ont pas de problèmes. Ce sont les Etats africains qui en ont. (...) Le maillon manquant dans la constitution de l’unité africaine, c’est le niveau local. Il faut que le point de vue local instruise les stratégies qu’on élabore pour l’Afrique de demain." La décentralisation : un partage des charges entre l’Etat et les citoyens A ce titre, l’association, qui fédère désormais l’ensemble des autorités locales du continent, se bat depuis des années pour être reconnue par les instances de l’Union africaine (UA). "Africités est la meilleure tribune pour lancer cet appel aux chefs d’Etat africains : les collectivités locales doivent avoir leur représentation au niveau de l’UA", insistera Aminata Mbengue Ndiaye, la maire de Louga, au Sénégal. Une reconnaissance logique pour le CGLUA. "Ce sont les Etats qui ont éprouvé le besoin d’avoir une personne publique de proximité, analyse Jean-Pierre Elong Mbassi. Ce qui veut dire qu’ils ont ressenti le besoin d’avoir un point de vue public différent de celui de l’administration centrale. Si ceci est pertinent, alors, à toutes les échelles, ce point de vue doit être entendu." Et en parlant d’une voix, les gouvernements locaux prennent le pouvoir au nom de leurs administrés largement représentés au Maroc. Quelque 5 000 participants dont 1 500 responsables locaux arpenteront jusqu’au 20 décembre prochain les travées du palais des Congrès de Marrakech. C’est encore et toujours au nom de leurs concitoyens que les responsables des collectivités locales ont lancé l’appel de Marrakech aux parties prenantes aux négociations de Copenhague sur le climat. "Il était essentiel de rappeler que ce sont les collectivités locales qui sont en première ligne lorsque les effets du réchauffement climatique se font sentir. Les inondations frappent d’abord les populations locales et c’est le maire qui est d’abord sollicité. Il est honteux, s’indigne le responsable du CGLUA, que lorsqu’on négocie l’adaptation et les réponses aux changements climatiques les collectivités locales ne soient pas autour de la table". Un appel qui fait aussi figure de rappel à l’ordre quand les négociations s’enlisent au détriment des pays africains."Les négociations piétinent à Copenhague parce que les principes sur lesquels cette rencontre a été convoquée ne sont plus respectés. Cette dernière l’a été sur la base de responsabilités partagées mais différenciées. Les délégations africaines ont mis sur la table le fait que le continent n’est pas responsable du changement climatique. C’est l’industrialisation de l’Europe et de l’Amérique, celle plus tardive de la Chine et de l’Inde, et d’une certaine manière celle du Brésil qui en sont la cause." A tous les niveaux et parce qu’il est le premier en tant émanation directe de la volonté des populations, la collectivité locale africaine est résolue à assumer sa part de responsabilité, et par conséquent à partager le pouvoir avec les Etats centraux. L’allocution prononcée par l’ancien président ghanéen Jerry Rawlings ce mercredi, à la cérémonie d’ouverture d’Africités, sonne comme un signe d’encouragement. Après avoir dénoncé la corruption "qui suce l’énergie de nos peuples", la mainmise persistance des puissances étrangères sur les économies africaines, dont il invite par ailleurs à défendre la souveraineté, il a rappelé que décentralisation n’était que "le partage" des charges d’un gouvernement avec ses populations.




    Début | Page précédente | 1 2 3 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact marbath-lg-1 ]

    © VIP Blog - Signaler un abus